À propos de la Conception de Sécurité Publique en bref
Prédicateur interne de l’URSS
La conception de sécurité publique repose sur un fait objectif qui part à la fois des connaissances élémentaires de la biologie et du regard que chacun peut porter sur sa propre mentalité. Cela permet d’affirmer que la base informationnelle et algorithmique de la conduite humaine comprend:
- Les instincts innés et les réflexes inconditionnels (au niveau intracellulaire et cellulaire ainsi qu’au niveau des organes, des systèmes et de l’organisme entier), ainsi que leur expression façonnée par la culture;
- Des traditions culturelles qui sont elles-mêmes supérieures aux instincts.
- La raison personnelle est limitée par les sentiments et la mémoire.
- “L’intuition en général” – ce qu’émerge des niveaux mentaux inconscients de l’individu, lui vient de la mentalité collective, lui est inspiré par des illusions du dehors et par une obsession au sens inquisiteur du mot; et ce que l’individu n’est en mesure ni expliquer ni comprendre à la suite de connexion causale;
- L’action sur le monde de la volonté divine conduisant les évènements à ses fins à travers la Providence. Cette action se réalise à base de tout ce qui a été mentionné plus haut, à l’exception des illusions et des obsessions qui font des irruptions dans la mentalité de l’individu malgré lui.
Il y a une place potentielle ou réelle pour tout cela dans la mentalité de tout individu. Mais il y a également ce qui rend l’humanité différente de la biosphère. Cependant ni la biologie, ni la psychologie, ni la sociologie n’en tiennent compte. Les manuels scolaires ainsi que ceux de l’enseignement supérieur n’en parlent pas non plus. L’essence de ce qui est généralement silencieux est la suivante:
Tout individu de l’espèce biologique «Homo Sapiens» peut être porteur de l’un des quatre types d’organisation mentale plus ou moins stables au cours de la vie adulte:
– L’organisation mentale du type animal – lorsque l’entièreté du comportement d’un individu est subordonnée à ses instincts et à la satisfaction des besoins instinctifs, ignorant les circonstances extérieures;
– L’organisation mentale du type robot (zombi) – lorsque le fondement du comportement s’appuie sur les automatismes culturels, tandis que le conflit psychologique interne entre les instincts et les automatismes conditionnés par la culture se résout dans la plupart des cas au profit des automatismes culturels. Mais si les circonstances sociales et historiques demandent d’abandonner les normes traditionnelles du comportement propres à la culture et d’en élaborer d’autres, un zombi opte pour la tradition existante et refuse la possibilité de création;
– L’organisation mentale du type démon se caractérise par une aptitude des individus à la création artistique, au surpassement de la domination des instincts et des normes culturelles historiques en générant une conduite différente et de nouveaux procédés dans la résolution des problèmes dans leur vie personnelle et publique. Serait-ce considéré bien ou mal dans un sens habituel de ces événements par l’entourage dépend de leur moralité réelle. En acquérant un certain pouvoir dans la société, le démonisme impose un culte inconditionnel lui voué en donnant naissance aux formes les plus cruelles et les plus raffinées de la répression de l’entourage. L’une des variantes les plus sophistiquées de la manifestation de coercition de l’entourage à la vertu a été citée par F.M. Dostoïevski dans „Le village de Stepanchikovo et ses habitants“ sous l’apparence d’un personnage nommé Foma, en tant que modèle comportemental;
– L’organisation mentale du type humain est caractérisée par le fait que chacun de ses porteurs est conscient de la mission de l’homme: d’être un représentant du Dieu sur la Terre. En conséquence de cette circonstance, il construit ses interactions personnelles avec le Dieu tout au long de la Vie en contribuant de manière sensée, volontaire et sincère à la réalisation de la Providence, tel qu’il la ressent et comprend. La réaction (lui indiquant ses erreurs) Divine se manifeste à travers des circonstances qui reflètent le fond des prières et des intentions de l’individu. En d’autres termes, Dieu nous adresse des messages à travers des situations quotidiennes.
Il y a un autre type d’organisation mentale Les gens l’ont créé eux-mêmes:
– Un type pervertis — lorsqu’un individu de l’espèce biologique «Homo Sapiens» s’enivre de substances psychotropes telles que l’alcool, le tabac et les drogues modernes dures. Cela provoque une distorsion perverse de sa physiologie aussi bien dans l’aspect des échanges nutritifs que dans l’aspect de la physiologie du „biopôle”. Le résultat de cela consiste en différents déséquilibres psychiques à tous niveaux (en commençant des organes sensoriels et terminant par l’activité intellectuelle et l’expression de la volonté) qui sont propres à l’organisation mentale du type animal, zombi et démoniaque (les individus ayant la mentalité humaine ne s’enivrent pas). L’individu anthropoïde se transforme en celui dont l’organisation mentale n’a pas une place naturelle dans la biosphère. La qualité de son comportement ne correspond correspond plus aux situations présentées, ce qui fait de lui le pire des animaux.
Dû à cette violation de son statut prédéterminé dans la biosphère de la Terre, cet individu reçoit inévitablement la rétribution en Vie.
S’il devient dépendant des drogues, il acquiert une persistante déformation de ses «champs doux». Par conséquent selon ses paramètres spirituels il ne peut plus appartenir à l’espèce biologique «Homo Sapiens». En outre, la plupart des drogues sont des poisons génétiques qui perturbent le fonctionnement de l’appareil chromosomique et détruisent les structures chromosomiques de ceux qui les consomment. Les structures chromosomiques défectueuses se transmettent à la descendance et d’une manière ou d’une autre ruinent leur santé, leur potentiel du développement personnel et leur créativité.
Cela est encore plus probable si la conception a eu lieu avant que les systèmes de réparation chromosomique du corps aient eu le temps de réparer les dommages.
Si les poisons génétiques pénètrent trop souvent dans l’organisme et en quantités telles que les systèmes de réparation de la structure chromosomique n’ont pas le temps de réparer tous les dégâts, la descendance s’en trouvera condamnée à la dégénération. Précisément ces circonstances créées par les hommes et reproductibles par la culture sociétale permettent d’identifier ce type d’organisation mentale comme plongé dans le pervers.
Pour l’individu répondant au principe de l’organisation mentale du type humain, il est normal de croire au Dieu de manière non formelle, sans dogmes ni rite et d’agir de plein gré dans les limites de la Providence. C’est-à-dire qu’il est normal pour l’homme d’être païen-monothéiste.
Le type d’organisation mentale est déterminé par l’éducation. Ce qui veut dire que si le type d’organisation mentale humain a été impossible à atteindre vers le début de la jeunesse, c’est la résultante du caractère vicieux de la culture sociétale et d’éducation inique des parents. Par conséquent, en étant adulte et en réalisant ce fait, chaque personne est capable de passer de n’importe quel type à l’organisation mental humaine qui est la base du développement personnel et social ultérieur.
En fonction de la répartition des individus selon leur type de l’organisation mentale, la société donne naissance à sa propre structure sociale et développe sa culture. Elle contribue soit à la conservation de l’état qui a été atteint jusqu’à présent et aux nouvelles tentatives d’esclavagisme, soit à la promotion de l’organisation mentale type humaine, reconnue comme norme et sûrement reproduite par la culture de génération en génération en tant que base du développement personnel et collectif des peuples et de l’humanité entière dans le futur.
La Conception de Sécurité Publique est décrite plus en détail dans ses aspects différents dans les livres: «Dialectique et athéisme: deux essences sont incompatibles», „Une théorie assez générale du gouvernement“, „Le petit cours“, „“Le Maître et Marguerite“: un hymne au démonisme? ou l’Évangile de la foi sans réserve“, «A propos des doctrines raciales: inconsistantes mais plausibles», «Vers le pouvoir Divin»
La dialectique de la foi en Dieu est une méthode pour connaître la Vérité dans la Vie en harmonie avec la Vie elle-même, c’est-à-dire qu’elle est la semence à partir de laquelle tout le reste pousse dans la Conception de Sécurité Publique, et surtout, la Théorie Suffisamment Générale de la Gouvernance (TSGG). La Théorie Suffisamment Générale de la Gouvernance elle-même est un tronc qui se développe directement à partir de la dialectique. Ce tronc se ramifie dans de nombreuses sciences appliquées appartenant à la théorie du DOTU en fonction des besoins des géants pour identifier et résoudre certains problèmes de leur vie et de la société.
Bien que les représentants de “l’Eglise Orthodoxe Russe” prétendent que la Conception de Sécurité Publique est une idéologie (un dogme) des «sectes totalitaires» formées sur sa base, leurs publications de ce genre ne sont basées que sur des rumeurs et des on-dit. Ils médisent aussi injustement de la Conception et de ses partisans ce qui ne correspond pas à la réalité. Contrairement à l’opinion de certains représentants de l’Eglise Orthodoxe Russe, il n’est pas possible de fonder une secte totalitaire sur la base de la Conception de Sécurité Publique.
C’est parce que le dogme et l’organisation de toute secte empêchent le croyant d’atteindre directement ou indirectement l’organisation mentale du type humain du fait que la hiérarchie des maîtres se dresse entre Dieu et les hommes en exigeant une obéissance aux responsables de secte comme s’ils étaient Dieux.
A notre avis cette situation est favorisée au minimum par les cinq traits ci-dessous qui sont propres à toute secte, indépendamment de son âge et du nombre de ses membres:
– La présence de doctrines ésotérique et exotérique signifie qu’il y a toujours dans la secte un enseignement destiné à la foule et un autre destiné aux élus (les initiés prédestinés à devenir les responsables de la secte);
– La présence de certains enseignements doctrinaux qui ne sont jamais soumis à la discussion et qui doivent être acceptés par les adeptes de la doctrine comme vérité sans remise en question ni raisonnement;
– La présence d’un rite qui accompagne toute réunion de la secte et qui représente en réalité un instrument pour «zomber» la mentalité;
– La défense catégorique de discuter avec les responsables de la secte à propos des dogmes principaux de la doctrine;
– Puisque la doctrine de la secte repose sur les dogmes indiscutables, il n’y a pas de place au développement de la culture personnelle d’assimilation de nouvelle connaissance et au rapport sensé à la Vie.
Conformément à cette compréhension de l’essence d’une secte, l’Eglise Orthodoxe Russe elle-même peut être considérée comme une secte totalitaire. La Conception de Sécurité Publique condamne tous les principes du fonctionnement de la secte annoncés ci-dessus. La Conception de Sécurité Publique telle qu’elle est aujourd’hui, repose sur un certain nombre d’ouvrages écrits à partir de 1987 par une équipe bénévole d’initiateurs qui se nomme «Prédicteur Intérieur de l’URSS» (PI URSS).
Depuis que L’URSS est disparu en tant que l’Etat, l’activité de l’initiative publique continue à œuvrer sous le même nom parce qu’il est devenu une sorte d’appellation protégée, mais aussi parce que nous ne pouvons pas reconnaître (au sens de la loi) la liquidation de l’URSS, réalisée conformément aux directives des «organisations secrètes mondiales», des loges maçonniques, de la CIA et du Conseil de la Sécurité Nationale des Etat Unis.
L’explication de la terminologie “Prédicteur Intérieure de l’URSS”:
Le terme «prédicteur-correcteur» est le nom d’une des méthodes de mathématiques computationnelles. Il permet de trouver une solution au problème par une chaîne d’approximations successives. L’algorithme de la méthode constitue un cycle au niveau duquel on accomplit l’une après l’autre deux opérations successives: la première représente un pronostic de résolution, la deuxième permet de vérifier si le pronostic correspond aux critères d’exactitude de la résolution du problème. L’algorithme s’achève au cas où le pronostic satisfait les critères d’exactitude de la résolution du problème.
De plus, le schéma de gouvernance, dans laquelle le signal de commande est produit non seulement à partir de l’information sur l’état actuel du système, mais également sur la base d’une prédiction de son comportement futur, est aussi parfois appelé un „prédicteur-correcteur“. Le schéma «prédicteur — correcteur» est assuré par la plus haute qualité de gouvernance, parce que les contours de circulation de l’information se court-circuitent en partie par l’intermédiaire du futur prédictif au lieu de par l’intermédiaire du passé survit. Cette circonstance permet de réduire à zéro la temporisation de gouvernance par rapport au moment de la perturbation. Il permet également, si nécessaire, de passer à un contrôle proactif, dans lequel l’action de contrôle prévaut sur la raison forçant le contrôle. Si on considère une situation conflictuelle du point de vue de la théorie de la gestion, le schéma «prédicteur- correcteur» permet assez souvent d’exclure même la possibilité de lutter contre un système déjà prêt à cette lutte.
С’est à dire, le terme «prédicteur-correcteur» est assez largement répandu chez les experts occidentaux spécialisés en mathématique et en technique.
Il est connu dans l’Histoire que le schéma «prédicteur-correcteur» a déjà été réalisé dans l’antiquité au niveau des systèmes de gestion sociale. Les grands prêtres de l’Egypte ancienne s’appelaient hiérophantes pour leur capacité de lire le destin (c’est-à-dire de déchiffrer la matrice d’états éventuels), de prévoir l’avenir. C’est une base de gestion, parce que gérer c’est savoir des états éventuels du système et mener ce système (la société) vers une variante préférée par rapport aux autres. Il est normal que le choix d’une variante soit conditionné par la moralité réelle et la volonté de ceux qui ont atteint la prévoyance et sont capables de gérer sur cette base.
Les «prêtres» (PRÉdire + ÊTRE) sont des personnes qui «prédirent la Vie» pour le bien de la société.
Pour ne pas fatiguer les garçons et les filles de Langley avec la nécessité de marier les mots du vocabulaire américain, nous avons choisi ce groupe de mots «prédicteur- correcteur». Il comporte suffisamment de signification plus au sens limité technique et mathématique qu’au sens général. Nous avons exclu de cette manière le risque que les traducteurs — exécuteurs de la commande sociale (traités par Alexandre S. Pouchkine de «bourrins d’instruction») choisissent d’autres mots pour imposer aux lecteurs anglophones une compréhension faussée de ce dont nous parlons.
Les prêtres s’occupent de prévoyance et de connaissance pour orienter le courant de la vie sociale vers le bien-être et le confort en la maintenant en harmonie avec la biosphère de la Terre, l’Univers et Dieu.
Par contre, les empiristes sont intéressés dans l’exploitation égoïste de la société sur la base des connaissances qu’ils ont maîtrisées, à cette fin ils cultivent délibérément l’ignorance et les connaissances perverties dans la société.
Voilà la différence entre les prêtres et les empiristes.
L’accord de la société et de sa culture avec la biosphère de la Terre, nécessite d’être globalement responsable et soucieux de prospérité de tous les peuples de la Terre.
La langue anglaise d’aujourd’hui étant la langue la plus répandue, en tant que langue globale de communication, nous avons pris soin à ce que tous les anglophones comprennent ce que nous voulons porter à leur connaissance, contrairement à ce que les maîtres des «bourrins d’instruction» souhaiteraient leur imposer au sujet de notre opinion.
De la même manière, nous n’avons pas besoin de terme «conception» puisqu’il y a en russe le mot «жизнестрой» («jyznestroï» — «bâtiment-de-vie»), c’est-à-dire «l’autocratie du pouvoir conceptuel», parce qu’en russe il est tout à fait possible de se passer de mots des langues mortes.
Mais nos adversaires doivent comprendre que leur monopole est terminé. En mots imagés: nous versons notre «eau de source» dans leur «outre de vin de jadis» pour faire craquer leur «outres». Leur “outres” ne nous plaisent pas et leur «vin» est étourdissant.
L’une des questions qui préoccupent à la fois certains des opposants à la Conception de Sécurité Publique et certains de ses partisans est la question de la paternité personnelle de certaines œuvres. Pour y répondre, nous citerons un extrait de l’ouvrage de Prédicteur Intérieur de l’URSS titulée „QUESTIONS au métropolite Jean de Saint-Pétersbourg et Ladoga et à la hiérarchie de l’ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE“ (1993) sur „l’anonymat“:
„L’homme dans notre civilisation malade est imparfait. Par conséquent, l’émergence d’un culte de la personnalité (même si cette personne rend de réels services à la société) signifie pour tous ceux qui adorent ce culte, l’émergence d’un culte du péché de la personne à propos de laquelle le culte se pose d’une manière ou un autre.
Nous avons adopté l’anonymat afin d’éviter une subordination irréfléchie à l’autorité (on ne sait pas dans quelle mesure établie ou délibérément créée) de certaines personnes. Nous avons adopté l’anonymat afin d’éviter l’inattention qui peut survenir pendant l’examen des opinions de „non-autorités“ et pendant l’expression écrite d’opinions sur le problèmes de pouvoir conceptuel et autres sujets sociologiques. À notre avis, l’anonymat des déclarations devrait éliminer les préjugés, de sorte que toute personne qui réfléchit volontairement accepte ce qu’elle lit selon sa propre conscience et puisse corriger ses erreurs sans la pression psychologique des noms de ceux dont on est habitué à percevoir les opinions comme une autorité incontestable. Pour le peuple, pour la société des gens, ce ne sont pas les personnes humaines qui importent, mais le résultat de ses actes. L’anonymat ne nuit pas à celui qui a fait une bonne action. Mais si l’acte est mauvais, alors personne ne se cachera du châtiment de Dieu, même si quelqu’un le voulait. Cela dit, veuillez ne pas prendre l’anonymat de cette lettre comme une offense ou une méfiance; d’autant plus que l’anonymat ne disparaît réellement qu’après communication personnelle, même si les lettres sont signées et tamponnées”.
Ce sont les informations minimales avec lesquelles nous voulons précéder les matériaux de base d’information. Les réponses aux autres questions se trouvent dans les matériaux de cette base et dans la Vie.
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