La  ruine de l’Islam coranique: stratégie à long terme

L’islam coranique représente pour les patrons du projet biblique l’un des problèmes primordiaux, qui relève de la culturologie à l’échelle mondiale.

Prédicteur interne de l’URSS

L’acuité du problème s’explique par le fait que la doctrine politique mondiale, qui anime des activités politiques de l’Occident, est la résultante de deux principes:

  •  les juifs sont supérieurs aux autres hommes, et ces derniers sont obligés d’être respectueusement tolérants à leur égard,
  •  l’acquisition du monde avec tous ses habitants et biens grâce au monopole multinational judaïque d’usure.

Bien que ces principes ne soient ouvertement déclarés, ils sont rigoureusement réalisés „par défaut“.

En vérité le Coran réprouve la doctrine de supériorité des juifs sur d’autres hommes et de façon formelle défend l’usure, en la considérant comme étant une variété du satanisme. Ces dispositions ne trouvent pas leur expression dans la pratique politique des pays musulmans fondée sur une conception alternative à l’esclavage biblique, et ceux qui se considèrent musulmans ne s’en rendent pas compte. Cependant, les dirigeants occidentaux sont conscients que le Coran est une menace potentielle pour l’établissement de leur régime de puissance mondiale. D’où leur envie de le vouer à l’oubli historique.

Comment les patrons de l’Occident pourraient voire la résolution „du problème de l’Islam“: l’opération à multiples issues:

1. La création d’un „khalifat“, qui serait composé au moins de la majorité écrasante des peuples pour lesquels l’islam actuel est la religion traditionnelle.   

2. Ce „khalifat“ déchaîne la geurre mondiale dans le but de déraciner le libéralisme éhonté de l’Occident avec les dogmes „des infidèles“ et  implanter à sa place le culte de l’Islam, en tant que „religion“ mondiale de toute l’humanité.

3. Par la suite, selon les effets de cette guerre, un point de bifurcation se présente:

3.1. Si les pays occidentaux „civilisés“ l’emportaient, le sort du Corant serait le même que le sort de „Mein Kampf“; les pays de l’Islam traditionnel seraient „déislamisés“ à l’image de la „dénazification“ qui avait eu lieu dans les deux Allemagnes après la Deuxième Guerre mondiale du XX s.    

3.2. Si c’est le „khalifat“ qui était le vainceur, les pratiques religieuses de l’Islam seraient obligatoires pour les populations du nouveau „khalifat mondial“. Ces populations, ne connaissant pas la langue arabe et incapables de lire en autonomie le Coran, seraient dirigées par les mollahs. Lequel des pays musulmans serait en mesure d’écarter l’éventualité de cette méthode de gouvernement? Même dans les pays où les arabophones constituent la grande majorité de la population, les «musulmans» eux-mêmes adorent plutôt le tapis de prière sans lier leur vie au Coran. Le mode de vie et les idéaux (rêves) de ces peuples sont très éloignés des préceptes coraniques sur la construction du Royaume de Dieu sur Terre, qui devrait éradiquer la tyrannie des uns sur les autres.

“Les mollahs” c’est une association professionnelle des idéologues, prête à interpréter les réalités en se référant au Coran mais dans l’intérêt de ses patrons invisibles, et ce à l’image des talibans afghans et des clergés musulmans de tous les pays.  

A l’étape suivante, quand le pouvoir des mollahs serait détesté par tous, pour être trop focalisé sur le rituel et incapable de discerner et de résoudre les problèmes réels des sociétés, la révolte mondiale anti-islamique, la libération du pouvoir des mollahs. Et, selon p. 3.1 – la désislamisation, le retrait du Coran hors de circulation et son rangement dans les réserves des bibliothèques; seuls quelques historiens particuliers sont autorisés à le citer de façon à démontrer quel mal avait été écarté de l’humanité.  

Le petit bourgeois de l’Occident ne se doute même pas que le Coran et l’islam dans la seconde moitié du XXe siècle soient devenus l’objet principal de calomnies et de discrédits délibérés. Parce que ce petit bourgeois a d’autre à faire que de lire carrément le Coran, d’y trouver un message adressé à lui personnellement et de confronter ensuite le lu avec les réalités pour pouvoir discerner la calomnie et l’apostasie des „musulmans“ qui se sont détournés des commandements exposés dans le Coran.

C’est la première étape de l’opération à multiples issues qu’on voit se concrétiser aujourd’hui. 

Au cours de cette étape: 

  •  Les régimes traditionalistes du monde islamique, qui ne sont pas agressifs à l’égard des voisins hétérodoxes, font l’objet de la pression des opposants pseudo-islamistes des milieux fondamentalistes radicaux; 
  •  En dehors de l’aire de diffusion de la culture musulmane, l’image d’un ennemi est délibérément créée, dont le rôle est attribué aux mêmes radicaux fondamentalistes pseudo-islamiques qui sapent les régimes des musulmans traditionnels et font preuve d’agressivité envers ceux qui croient différemment.

Pour pouvoir accomplir cette mission on a le terrorisme mondiale à l’enseigne d’Al-Qa’ida qui „est combattu“ par l’Occident avec méthodes considérés par le monde islamique comme étant une atteinte. Ceci contribue à mobiliser les masses dans l’intérêt des radicaux pseudo-islamistes fondamentalistes. 

A peu près tous les pays traditionnellement islamiques sont impliqués dans ce scénario.

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